
Florent Oiseau - Les Magnolias
– Pompon
– Cachou…
Il y a des gens, dans la vie, dont l’unique préoccupation semble d’imaginer des noms de poneys. Alain est de ceux-là. Sa carrière d’acteur au point mort – depuis qu’il en a joué un, dans un polar de l’été, sur TF1 –, le quarantenaire disperse ses jours. Chez Rosie en matinée – voluptés de camionnette – et le dimanche aux Magnolias – où sa grand-mère s’éteint doucement. On partage une part de quatre-quarts, sans oublier les canards, et puis mamie chuchote : « J’aimerais que tu m’aides à mourir. » Autant dire à vivre… La seconde d’après, elle a déjà oublié. Pas Alain. Tant pis pour les poneys : il vient de trouver là, peut-être, un rôle à sa portée…
Né en 1990, Florent Oiseau a été pompiste, chômeur, barman, plongeur, réceptionniste de nuit, ouvrier dans une usine de pain de mie, crêpier, surveillant de lycée et couchettiste sur le train Paris-Venise. Il a publié quatre romans chez Allary Éditions. Son premier roman, Je vais m’y mettre, a été désigné « livre le plus drôle de l’année » et a reçu le Prix Saint-Maur en poche. Paris-Venise et Les Magnolias ont été finalistes du Prix Orange du livre. En 2021, il publie Les Fruits tombent des arbres qui reçoit le Prix du Livre qui fait du bien.
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©Ersan McGregor/Allary Éditions
Gérard Collard, Le Magazine de la Santé
« Empreinte de poésie et de fantaisie, la tendresse de Florent Oiseau pour ses personnages est contagieuse. »
L’Express
« Prix du livre le plus drôle de l’année, mais pas que. Un mélange de fantaisie, d’humour et de tendresse.»
Olivia de Lamberterie, Télématin
« Florent Oiseau a su imposer un ton tragi-comique rare en France, porté par des héros ratés, naïfs, attachants. Rien ne pèse, rien n’est lourd. C’est un art. Florent Oiseau le maîtrise comme peu d’auteurs de sa génération. »
Le Figaro Magazine
« Avec des personnages aussi absurdes qu’attachants et une plume pétillante d’humour, l’auteur de 29 ans parvient à ensoleiller la vieillesse, la précarité, et les secrets de famille. »
Version Femina
« Florent Oiseau a l’art du roman sociétal et burlesque. »
L’Obs
« Impertinence, humour noir et drôlerie se mêlent à une mélancolie qui brûle à feu doux pendant tout le roman. »
Le Parisien Magazine